Quelle poêle choisir pour cuisiner sainement ? Ce qu’il faut vraiment savoir.
Téflon, céramique, inox, fonte, revêtements “green”…
Choisir une poêle devient un vrai casse-tête quand on veut simplement cuisiner sans risque pour sa santé.
On fait ici le point, sans jargon ni dramatisation :
juste les faits, les différences, et comment faire un choix éclairé.
Le vrai problème : les revêtements invisibles
De nombreuses poêles vendues comme “antiadhésives” ou “écologiques” contiennent encore des substances problématiques, notamment les PFAS (souvent appelés polluants éternels).
Pourquoi c’est embêtant ?
- Ils sont très résistants, mais peu dégradables
- Ils peuvent migrer dans les aliments à forte chaleur ou quand le revêtement s’abîme
- Ils sont liés à des effets potentiellement néfastes sur la santé (études en cours)
👉 Ces substances sont parfois cachées sous des noms rassurants : “revêtement céramique”, “surface minérale”, “antiadhésif nouvelle génération”…
Les options possibles pour une cuisson saine :
Si votre priorité est la santé + la durabilité + la simplicité, l’inox est aujourd’hui l’un des seuls matériaux fiables.
Mais attention : tous les inox ne se valent pas
L’acier inoxydable existe en plusieurs qualités.
L’idéal en cuisine est l’inox 316, parfois appelé “chirurgical” : il résiste mieux à l’acidité, ne migre pas, ne s’abîme pas.
Il ne contient aucun revêtement, aucune colle, aucun traitement de surface.
Ce que vous voyez = ce que vous avez.
Et les autres détails qui comptent
- La poignée : mieux si vissée (pas de rivets internes → plus hygiénique)
- La structure : multicouche pour une chauffe homogène
- La compatibilité induction : un vrai plus
Notre choix, chez Gustave & Inox
On ne vous promet pas une poêle magique.
On vous propose un ustensile simple, sans revêtement, en inox 316, avec une poignée ergonomique, sans rivet intérieur, pensé pour durer.
Vous faites tout dans la même poêle :
saisir, déglacer, ajouter vos féculents, servir.
Moins de vaisselle. Plus de goût. Zéro toxique.
